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Recherche initiatique dans le desert

L'enseignement dans la Chevalerie Templière Initiatique

Nous, Chevaliers du Temple, axons notre pratique chevaleresque sur « l’Art de la Chevalerie », mais aussi par la révélation de clés initiatiques. Nos outils s’expriment dans une recherche symbolique, celle du Saint Graal et dans la matière de ce que René Guénon appelle la « Tradition Primordiale » corroborés et développés dans les quatre chapitres du LIVRE M.

 

De par ses rituels, notre chevalerie templière initiatique se situe comme l’un des rares ordres chevaleresques initiatiques, encore gardiens de la transmission de la Force de l’Esprit Saint, conférée par son rite d’adoubement dans le strict respect de la règle de la Fontaine d'Honneur. 

Ordre veilleurs Du Temple -Chevalerie templière initiatique
Ordre veilleurs Du Temple -Chevalerie templière initiatique

L’enseignement dans la Chevalerie Templière Initiatique , s’articule sur trois axes

  • Le premier axe : Sous la forme de Cahiers d’enseignement (sur papier ou dématérialisé / PDF).

  • Le deuxième axe : Dans le Tiers Ordre, en participant à des réunions mensuelles où l'enseignement est transmis sous la forme acroamatique (oralement).
     

  • Le troisième axe : Dans l’Ordre Intérieur, toujours sous forme acroamatique, est développée l’étude d’un corpus, le Liber Mundi ou « Livre du Monde », que nous désignions plus simplement sous le terme de « LIVRE M ». Soyons clair et sans équivoque, qu’il ne s’agit pas d’un grimoire mystérieux, ni d’un livre quelconque de nature physique. Il s’agit d’y discerner une expression symbolique du Monde, de l’Univers, et de la Création toute entière. L’enseignement du Livre M se répartit en quatre Axes, allant du général au particulier, à savoir :

  1. Axe de l’Univers

  2. Axe de la Nature

  3. Axe de l’Homme

  4. Axe de la Sagesse

Ordre veilleurs Du Temple -Chevalerie templière initiatique

Livre M

« Tous les Hommes que la nature supérieure a empreint d’amour pour la vérité doivent avoir à cœur par-dessus tout, ayant été enrichis du labeur des anciens, d’œuvrer ensemble et semblablement eux-mêmes pour la postérité

en sorte que leurs enfants tirent d’eux richesse nouvelle ».

 

(Dante, Monarchie)

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